Mon voyage à Pékin

Quand on arrive, ce qui frappe d’abord par 40 ° à l’ombre, c’ est le son des rues,une musique bien particulière faite de sonneries de vélos (quatre-vingts millions en Chine), de l’écho des piétons, d’un certain silence serein aussi, celui de I’après tempête de la Bande des Quatre, entrecoupé du klaxon frénétique des quelques voitures…
Lire la suite